dimanche 8 mai 2011

Douleurs psychosomatiques

Elles sont la, elle me poignarde le corps de part et d'autres. Elles sont salaces, et elles me font peur comme jamais. J'aimerais les stopper, j'aimerais revivre comme si mon corps n'étais pas un vulgaire bout de sucre prés a se casser a chaque mouvements.
Je ne veut plus de silence, je veut du bruit, qui me permettrait de ne plus y penser, d'oublier, de m'occuper l'esprit, ne serais-ce qu'une heure, que je puisse oubliez comme j'ai mal, comme je souffre.
J'ai l'impression d'avoir une balle de tennis dans le corps, qui s'amuserait a rebondir sur chacun de mes membres, occasionnant ces douleurs, comme si mon corps se la faisait passez. " Tiens, j'en ait marre d'être dans le bras, fait le donc morfler un peut du dos ".
Il paraîtrait qu'en réglant les problèmes, les douleurs disparaissent, comme si elle n'étais jamais apparus. Alors, je pense, et j'imagine, qu'un jour, tout iras bien. Je m'autorise a concevoir un avenir ou tout disparaitrais, ou je serais bien, ou mon corps ne me feras plus peur.
Ce matin, en prenant du recul, et en y réfléchissant, je me suis rendus compte que mes douleurs, apparaissait quelques jours avant que je doivent partir chez mon père, durait le temps de mon séjour, et disparaissait quelques jours après que j'en soit partis. Je vais me concentrer la dessus, parce que cela pourrait aussi être dut au fait qu'ici, je suis seul, sans amis pour me distraire, et que par conséquent, je m'écoute beaucoup.
Aujourd'hui, c'est le retour dans la grande ville, les vacances sont finis, alors je m'en vais prendre mon train.
Je ne pourrait poster avant le week-end prochain, donc je souhaite a ceux qui passerais par la, une agréable semaine.
A bientôt

1 commentaire:

  1. La logique me semble bonne : réparer ce qui a été cassé avant, pour ne plus avoir mal maintenant…
    C'est le même travail que j'ai fait pour l'am… Avant, c'était un passage obligatoire… Et un jour, j'ai accepté l'absence de maman. J'ai accepté le fait que rompre avec mon père était la bonne solution. J'ai accepté qu'il fallait que j'attende que mon petit bébé de frère grandisse pour que je puisse le revoir, un jour, quand il serait grand…
    Et l'am s'est faite plus discrète. De plus en plus discrète…

    L'am comme tes douleurs, est un appel du corps, un issue de secours.
    J'imagine que la logique fonctionne donc pour les deux…

    P!

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