samedi 28 mai 2011

L'anti-chambre obscure.

Il aurais put me prendre dans ses bras, et ne jamais me laissez partir. Il aurait put me contaminer de son être, me rendre malade a en crever. Il n'aurais évidemment eu aucun mal a me transpercer de son souffle.
Je le regarde, et je constate  à quel point il me rend faible. Je le désire, au moins autant que j'aimerais le tuer.
   Mon corps tombe en ruine, et il ne fait que me regarder mourir, sans même se douter qu'il en ait l'unique responsable.
Dans ma pièce sombre, les odeurs sont mauvaises, j'attend en ayant mal. Il n'a qu'a m'aider a sortir, juste allumez la lumière, et me prendre avec lui. Le problème, c'est qu'il s'en fou. Je suis vide, vide de sentiments, vide de vie. Je n'existe pas, je suis présent, je parle, je bouge, mais je ne suis pas vivant.
C'est simplement l'anti-chambre, la salle d'attente obscure.

vendredi 13 mai 2011

Elle brule.

Je l'est encore fait. Je suis encore tombeux amoureux, en 10 minutes. Je ne le connaissait pas, je savais simplement qu'il etudier dans mon école. Je l'avais déja aperçu la bas. Il a pris le même train que moi, il étais assis en face. J'étais mal a l'aise, mais en même temps, je le trouver beau. J'ai crus qu'il me regarder, j'ai crus qu'il me trouver beau, qu'il aimerais me parler mais qu'il osez surement pas. J'ai crus que le " Camille " gravé sur sa gourmette étais son prénom, aprés tout, il y a des garçons qui s'appelle Camille. J'ai crus qu'il se gratter souvent la tête pour que je puisse la voir, sa gourmette.
Je me suis presser d'allez fouiner sur internet, je savais a peut prés qui étaient ces amis, alors j'ai chercher, j'ai passez 2 heures a tenter de trouver une personne, dont je ne connaissait rien. Puis j'ai réussis.
Camille, c'est le nom de sa copine. Elle a l'air gentille, ils sont ensemble depuis a peut prês un an si j'ai bien compris.
Je penser que peut être un jour, j'arriverais à ne pas me tromper, a bien analyser les choses autour de moi.
Leurs regards, aux garçons, sont tous les mêmes. Ils me regardent parfois, je me sent beau, je me sent aimez, mais au final, je le sait trés bien, que je me trompe.
Puis, il y a ceux qui m'aiment vraiment, ceux qui me le disent ouvertement. Mais ceux la, j'arrive pas a les aimez, parcequ'ils ne sont pas ce que je veut.
Au final, je suis triste, je fume un joint, et je me dit que sa n'est pas si grave que ce que je peut le pensez, que c'est simplement dans ma tête, que je crée tout sa. Mais la tristesse est quand même la, et elle brule.

dimanche 8 mai 2011

Douleurs psychosomatiques

Elles sont la, elle me poignarde le corps de part et d'autres. Elles sont salaces, et elles me font peur comme jamais. J'aimerais les stopper, j'aimerais revivre comme si mon corps n'étais pas un vulgaire bout de sucre prés a se casser a chaque mouvements.
Je ne veut plus de silence, je veut du bruit, qui me permettrait de ne plus y penser, d'oublier, de m'occuper l'esprit, ne serais-ce qu'une heure, que je puisse oubliez comme j'ai mal, comme je souffre.
J'ai l'impression d'avoir une balle de tennis dans le corps, qui s'amuserait a rebondir sur chacun de mes membres, occasionnant ces douleurs, comme si mon corps se la faisait passez. " Tiens, j'en ait marre d'être dans le bras, fait le donc morfler un peut du dos ".
Il paraîtrait qu'en réglant les problèmes, les douleurs disparaissent, comme si elle n'étais jamais apparus. Alors, je pense, et j'imagine, qu'un jour, tout iras bien. Je m'autorise a concevoir un avenir ou tout disparaitrais, ou je serais bien, ou mon corps ne me feras plus peur.
Ce matin, en prenant du recul, et en y réfléchissant, je me suis rendus compte que mes douleurs, apparaissait quelques jours avant que je doivent partir chez mon père, durait le temps de mon séjour, et disparaissait quelques jours après que j'en soit partis. Je vais me concentrer la dessus, parce que cela pourrait aussi être dut au fait qu'ici, je suis seul, sans amis pour me distraire, et que par conséquent, je m'écoute beaucoup.
Aujourd'hui, c'est le retour dans la grande ville, les vacances sont finis, alors je m'en vais prendre mon train.
Je ne pourrait poster avant le week-end prochain, donc je souhaite a ceux qui passerais par la, une agréable semaine.
A bientôt

mercredi 4 mai 2011

Des bras masculin, et ma tristesse.



Hier soir je suis sortis. J'étais anxieux, je le suis toujours un peut quand il s'agit de passer une soirée. Parceque, je sait que malgré les apparences que je peut donner, du gars a l'aise, qui enchaine les cigarettes et les verre de vin, qui se sent trés bien integrer dans sa bande d'amis, en moi, c'est toujours cette foutue angoisse qui pérsiste, qui s'accroche. Comme un animal, qui me boufferais les tripes une par une. Quand je sent qu'elle est trop la, trop présente, j'ai comme un besoin de la projeter sur quelques choses, et je commence a m'inquiétez, parceque j'ai mal. C'est ainsi qu'en une heure, j'ai un cancer du poumon, un probléme cardiaque, une petite dizaine de tumeur, des névralgie, une extrasistoles, et j'en passe. Je me sent en sucre, comme si le simple fait de bouger mon bras allez me briser, me décomposer. Malgré sa,  Je reste la, je sourit de temps a autre, une petite blague par ci, une par la, et tout continue comme sa.
Quand la crise passe, que je réalise que je me fait encore avoir, que c'est encore ce vilain animal qui fait des siennes, je vais mieux. Dans ces moments la, je me sent invincible, je me remet a boire, j'ai comme cette sensation que la terre pourrait s'arretez de tourner, qu'un attentat pourraît avoir lieu sous la fenétre, sa ne serais pas grave. Sa ne serais pas grave parceque j'ai réussis a ne pas mourir, a ne pas devenir fous, et a préserver mes apparences flatteuses pendant que cette guerre faisait râge en moi. C'est une victoire en plus.
Evidemment, sa ne dure pas, et je me retrouve a finir la soirée, dans les bras d'un garçons qui m'aurais insupporter plus qu'autre chose en temps normal. Tout simplement parceque, ce sont les bras d'un garçons, ce sont les bras affectueux dont je cauchemarde la nuit, les bras qui me tourne autour sans arrets, et que je n'arrive jamais a saisir. Il n'y a rien d'autre que sa, des bras masculin, et ma tristesse.

mardi 3 mai 2011

...

J'angoisse.
Je suis la, a passer de piéce en piéce, a fumer mes cigarette et a boire mes biéres pour me donner une contenance. Je suis ici, je tourne en rond, j'ai peur. Mon corps a mal, je ne peut plus bouger sans ressentir une douleur. J'ai mal au coeur, mal au dos, mal au bras, chacun de mes muscles se bloque.
On as parfois du mal a vraiment réalisé a quel point l'anxiété peut entrainer des douleurs physiques. C'est un cercle vicieux qui s'enclenche, les douleurs font peur, et la peur entraine les douleurs. Je me rassure, je me dit que tout ce théatre se joue dans ma tête, que je peut l'arretez quand je veut, qu'il suffirais d'appuyer sur le bouton " Stop" pour que ma vie redevienne agréable. Mais c'est faux.

Je me renseigne en ce moment sur les CMP, les centre medico psychologique. J'aimerais y allez, mais j'ai dût mal a me lançer. Parceque j'ai jamais le temps, ou peut être que sa me fait trop peur.
Je tiens aussi a m'excuser pour le nombre de fautes d'orthographe que je fait, je n'est jamais étais bien doué pour sa. Je ne tiens pas a les corriger, parceque ici, j'ai décider d'être moi, les fautes y compris.
A bientot

lundi 2 mai 2011

Lundi 2 mai 2011


Aujourd'hui, je suis rentré chez moi. Aprés avoir vagabonder une semaine, je suis rentré. Je sait pas vraiment si sa me rend heureux. Je pense être surtout partager, entre plusieurs sensations que j'ai du mal a comprendre moi même.
Ma façons de vivre, consiste a analyser. Le monde qui m'entoure, mes pensées, mes angoisses. Je serais capable d'analyser la trajectoire d'une fourmis si l'occasion m'étais offerte. Ne serais-ce pas ce qu'on appelle l'Hypersensibilité ? Le fait de vouloir comprendre, de façons pathologique, tout ce qu'il se passe autour de moi. La ou le probléme se pose, c'est que, quand je ne comprend pas, sa m'effraie.
Toutes ces informations entre dans ma tête, elles se bousculent, s'écrase et s'accumule. Je voudrais me prendre, me présser comme une vulgaire éponge. Faire couler toutes ces conneries qui stagne. Repartir tout neuf, vierge, blanc.

Aujourd'hui on m'a repprocher de " ne pas savoir gérer mes émotions, ni mes relations", avec un petit " il faudrait sérieusement que tu te remette en question ". Bon.
Je crois que sur le coup, j'ai vraiment étais en rogne. C'est probablement pour sa que mon paquet de cigarettes s'est vider en une demi heure, probablement aussi que c'est la cause d'une forte diminution du niveaux de vin du pichet a l'oncle. Voila, ça, c'est moi, et mon incroyable incapacité a réguler mes pulsions.
C'est drole parceque, me remettre en question, je le fait a longueur de temps. En fait, je le fait tellement, que je n'avance pas. Voila le probléme.

Mon pére devait m'appellez, il ne l'a pas fait. Il avait dit qu'il le fairais, il a préferer refiler le salle boulot a la belle mére. Je lui en veut, mais je croit que lui m'en veut aussi. Je lui en veut d'avoir fait de moi ce que je suis, de ne pas m'avoir fait comme les autres, fort, capable de gérer leurs angoisses, ayant confiance en eux. D'être partis, de ne pas avoir apris a m'aimer, ou a être fier de moi. Et lui, il m'en veut de ne pas être comme il l'aurais voulus, doué, dynamique, peut être un peut plus hétero.

Je répond au commentaires avec plaisir.
A bientot

dimanche 1 mai 2011

Vide intérieur.




Ma terre a moi s’est arrêter de tourner.
Je glisse vers le fond. Une sensation de vide désagreable. Je me protège de mes sentiments, tente de les éliminer par tout les moyens possible. Mon goût pour la vie se décompose, tout devient oppressant, comme une douleur interne, bien ancrée, une haine inconsciente envers moi même, que je déverse sur les autres pour me libérer. Je ferme mon cœur, le bloque, le verrouille et l’enterre profondément.
Le sentiment de fatalité prend de la place, et c’est la dépression qui arrive.
La douleur est la, présente. Elle contamine chaque muscle de mon corps, paraît-il que c'est le symptome de l'angoisse, la sensation d'avoir mal.
En vérité, c'est le cancer de la personnalité. Ce besoin incessant de se faire mal, de pousser plus loin, encore et encore.
C'est comme si mon monde, n'avait rien a voir avec celui ou vivent les autres, ceux la, qui ne semblent rien comprendre.

Je ressent le besoin de parler, a qui que ce soit.
J'éssait de comprendre, de m'analyser, mais je n'y arrive pas. Borderline ?
Je viendrais écrire ici fréquemment.
A bientôt