mercredi 4 mai 2011

Des bras masculin, et ma tristesse.



Hier soir je suis sortis. J'étais anxieux, je le suis toujours un peut quand il s'agit de passer une soirée. Parceque, je sait que malgré les apparences que je peut donner, du gars a l'aise, qui enchaine les cigarettes et les verre de vin, qui se sent trés bien integrer dans sa bande d'amis, en moi, c'est toujours cette foutue angoisse qui pérsiste, qui s'accroche. Comme un animal, qui me boufferais les tripes une par une. Quand je sent qu'elle est trop la, trop présente, j'ai comme un besoin de la projeter sur quelques choses, et je commence a m'inquiétez, parceque j'ai mal. C'est ainsi qu'en une heure, j'ai un cancer du poumon, un probléme cardiaque, une petite dizaine de tumeur, des névralgie, une extrasistoles, et j'en passe. Je me sent en sucre, comme si le simple fait de bouger mon bras allez me briser, me décomposer. Malgré sa,  Je reste la, je sourit de temps a autre, une petite blague par ci, une par la, et tout continue comme sa.
Quand la crise passe, que je réalise que je me fait encore avoir, que c'est encore ce vilain animal qui fait des siennes, je vais mieux. Dans ces moments la, je me sent invincible, je me remet a boire, j'ai comme cette sensation que la terre pourrait s'arretez de tourner, qu'un attentat pourraît avoir lieu sous la fenétre, sa ne serais pas grave. Sa ne serais pas grave parceque j'ai réussis a ne pas mourir, a ne pas devenir fous, et a préserver mes apparences flatteuses pendant que cette guerre faisait râge en moi. C'est une victoire en plus.
Evidemment, sa ne dure pas, et je me retrouve a finir la soirée, dans les bras d'un garçons qui m'aurais insupporter plus qu'autre chose en temps normal. Tout simplement parceque, ce sont les bras d'un garçons, ce sont les bras affectueux dont je cauchemarde la nuit, les bras qui me tourne autour sans arrets, et que je n'arrive jamais a saisir. Il n'y a rien d'autre que sa, des bras masculin, et ma tristesse.

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